Le service gynécologique de la Polyclinique du Parc Rambot souhaite profiter la journée de la femme pour aborder des sujets très intimes. Car encore aujourd’hui trop de femmes ne se soignent pas, restent avec des douleurs, des complexes. Mais le sexe est un organe comme un autre, dont il faut prendre soin. Toute l’équipe de gynécologues de la Polyclinique du Parc Rambot se mobilise pour offrir une prise en charge optimale de l’ensemble des pathologies de l’intime féminin, en faisant profiter les patientes des dernières avancées médicales et technologiques en matière de chirurgie gynécologique :
-- L’opération sous hypnose pour la chirurgie du cancer du sein
Un an après la première opération du cancer du sein sous hypnose à la Polyclinique du Parc Rambot, 150 opérations ont été pratiquées en un an. Le recours à l’hypnose est maintenant automatisé pour toute chirurgie du sein bénigne. Les femmes sont ravies, elles récupèrent beaucoup plus rapidement. La Polyclinique se félicite de cette méthode qui apporte confort et bien être pour les femmes. Référent : Dr Véronique VAINI‐COWEN
-- Un laser pour soigner l’atrophie vaginale
Avec l’acquisition en 2019 d’un laser spécifique, la Polyclinique du Parc Rambot a permis à ses gynécologues obstétriciens de traiter la sècheresse vaginale qui survient après la ménopause ou un cancer du sein. En effet, le laser apporte une nouvelle solution bien plus efficace et moins contraignante que les crèmes hydratantes et les ovules. Il s’agit d’un laser CO2 pulsé, indolore, qui retire les couches superficielles sèches de la muqueuse pour faire apparaître les couches plus jeunes et ainsi permettre une meilleure production de collagène. Référent : Toute l’équipe pratique le laser
-- Un nouveau robot pour opérer les cancers gynécologiques : col de l’utérus, endomètre et ovaires
La Polyclinique du Parc Rambot s’est dotée d’un robot à 4 bras appelé « Da Vinci » qui révolutionne les interventions chirurgicales : précision, diminution des saignements, diminution de la durée de l’opération et d’hospitalisation. Référent : Dr Jean Hilaire BIJEK
-- La nécessaire sensibilisation pour prévenir et détecter l’endométriose
Les principaux symptômes de l'endométriose sont la douleur et l'infertilité. Si la parole des femmes se libère peu à peu, si les praticiens diagnostiquent et accompagnent mieux les femmes, la sensibilisation des patientes et des médecins reste une priorité. L'équipe de chirurgie gynécologique, impliquée dans la prise en charge de cette maladie depuis plusieurs années, met au service des patientes des techniques innovantes comme par exemple le Plasmajet et le Robot chirurgical. Cette prise en charge souvent complexe s'organise de façon pluridisciplinaire avec les gastro-‐entérologues, les radiologues, les chirurgiens digestifs et urologues. Référents : Dr Pascal MOURTIALON & Dr François GUILIBERT
-- Une seule nuit d’hospitalisation pour traiter la descente d’organes
C’est une véritable valeur ajoutée pour la Polyclinique : grâce à des techniques et du matériel de pointe, les femmes souffrant de descentes d’organes, ou prolapsus, sont opérées en 1h30 seulement et peuvent rentrer chez elle le lendemain de l’intervention. Mieux ! Elles reprennent une vie tout à fait normale au bout d’un petit mois (sport, travail, rapports sexuels). La chirurgie mini-‐invasive (ou cœlioscopie) a révolutionné la prise en charge de ces patientes, en permettant une correction de ces anomalies anatomiques tout en renforçant les tissus défaillants à l’aide de filets prothétiques. L’intervention s’appelle une promontofixation. Référent : Dr Olivier MARPEAU
-- La chirurgie plastique de l’intime pour mieux vivre
Méconnue parce que taboue, la chirurgie de l’intime est très étendue. Elle permet de réparer des anomalies morphologiques, ou des effets d’un traumatisme, et parfois relever de l’esthétisme. Nymphoplastie, réduction du clitoris, réfection du périnée, volumisation des grandes lèvres,… sont des chirurgies ambulatoire souvent réalisées sous anesthésie générale ou loco régionale avec des suites plutôt simples. L’augmentation de volume du point G pour soigner la perte de plaisir, l’injection de botox pour les vaginismes,… plusieurs interventions peuvent se pratiquer en cabinet. Comme toute chirurgie esthétique, le chirurgien doit cerner les motivations de la patiente et permettre une approche pluridisciplinaire dans les cas où l’intervention de sexologue ou psychologue soit nécessaire. Référent : Dr Christophe CUENIN